« Si tu ne travailles pas bien à l’école, tu seras caissière. » Mal-reconnus, dénigrés, les premiers de corvée doivent toujours se contenter de salaires de misère et de conditions de travail précaires. La crise sanitaire a pourtant démontré leur extrême nécessité. Comment enfin revaloriser ces travailleurs à leur juste valeur ?