La rhétorique du « jour d’après » masque de plus en plus mal les efforts faits par les capitalistes pour maintenir intact un système à bout de souffle. Comment éviter que les peuples paient, comme en 2008, l’ardoise de la crise ?
La rhétorique du « jour d’après » masque de plus en plus mal les efforts faits par les capitalistes pour maintenir intact un système à bout de souffle. Comment éviter que les peuples paient, comme en 2008, l’ardoise de la crise ?
Economiste et statisticien français, administrateur de l'INSEE
Economiste, membre du Collège de France
Directeur adjoint de l’OFCE
Abonnez-vous pour moins de 2,5€ / semaine